10 Leçons Brutales qui te feront Devenir Riche

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Yomi Denzel : À 20 ans, j’étais à sec, à 22 ans, j’étais millionnaire, et aujourd’hui, j’ai plusieurs dizaines de millions d’euros sur mon compte en banque. Je vais te résumer les 10 leçons brutales que j’ai apprises au cours de mon parcours, qui m’ont fait passer de pauvre à multimillionnaire. Alors, la première leçon risque de froisser certains, j’ai hésité à la dire, mais elle est tellement vraie que je ne peux pas ne pas en parler.

 Leçon numéro 1 pour devenir riche : 

si t’es pauvre, c’est que t’es incompétent. La première fois que je l’ai entendu, ça m’a vraiment frustré. Dans ma tête, j’étais pauvre parce que je n’avais pas eu la chance de naître dans une famille riche, parce que je n’avais pas décroché le bon job, parce que je n’avais pas encore eu le temps d’avancer dans ma carrière. J’étais pauvre parce que je n’avais pas trouvé l’idée de business qui allait changer ma vie. Tout ça, c’était hors de mon contrôle, ça m’a fait mal.

Dire que ma pauvreté venait directement de mon incompétence, c’était presque une insulte, et pourtant c’était vrai. C’est même assez évident, non ? Qu’est-ce qui fait la différence entre l’employé le moins payé du McDonald’s du coin qui touche le SMIC et le manager de ce McDonald’s qui gagne le triple ? Et qu’est-ce qui sépare le directeur de ce McDonald’s du CEO du groupe McDonald’s qui empoche presque 20 000 € par an ? Eh bien, au fond, c’est une question de compétences.

Pilotage d’entreprise, vision, réseautage, prise de décision, priorisation, management, innovation, etc., tout ça, le manager du McDonald’s du coin ne l’a pas. Lui, il a des compétences en comptabilité, en organisation, en délégation, que l’employé au SMIC n’a pas.

Et cet employé au SMIC, il a des compétences qu’un étudiant ou quelqu’un au chômage n’a pas. Il sait comment utiliser les machines de McDonald’s, appliquer les procédures, et bien parler aux clients.

La différence entre vous et quelqu’un qui gagne 10 ou 100 fois plus, c’est souvent une ou plusieurs compétences. Malheureusement, beaucoup de gens ne s’en rendent pas compte. Si quelqu’un gagne plus que vous, il y a de fortes chances qu’il ait des compétences que vous n’avez pas.

Donc, la meilleure façon de gagner plus d’argent, c’est d’identifier ces compétences et de les apprendre, même si vous avez un peu moins d’expérience, même si vous êtes un peu moins chanceux, et même si tu as un réseau moins bon si t’es pas la personne qui a les meilleures compétences pour un poste spécifique, tu vas galérer à trouver un taf.

Et si t’es un entrepreneur compétent, même si t’as pas la bonne idée ou le bon marché au départ, ton business finira par marcher tôt ou tard. Mais malheureusement, notre ego nous joue des tours.

C’est plus facile de se dire qu’on est pauvre ou qu’on ne gagne pas beaucoup d’argent parce qu’on n’a pas encore eu la bonne opportunité, assez de temps ou parce que c’est injuste, et à l’inverse, ça demande beaucoup plus d’humilité de se rendre compte que si on ne gagne pas autant d’argent qu’on le voudrait aujourd’hui, c’est parce qu’on n’est pas aussi compétent qu’on le pense.

Quand j’étais jeune, je croyais avoir tout compris du business, que j’avais les bonnes idées, que je savais comment entreprendre. C’est seulement après plusieurs échecs que j’ai réalisé qu’il fallait que je me remette en question.

Alors la prochaine fois que vous voyez un type sur Instagram qui gagne beaucoup plus que vous, ou vous pensez que votre collègue qui vient de se faire augmenter ne le mérite pas, demandez-vous quelles compétences ces gens ont que vous n’avez pas et bosser là-dessus le plus vite possible.

Leçon numéro 2 pour devenir riche

mon père avait raison, faut arrêter de se trouver des excuses. Je m’en souviendrai toute ma vie. Je suis à l’arrière de la voiture de mon père, en rentrant d’un match de foot qu’on a perdu, et je suis en train de râler sur l’arbitre qui a fait une boulette, mon père me laisse parler, puis au bout d’un moment, il intervient. Il hausse le ton, il s’énerve et il me dit : « On s’en fout de ce que l’arbitre a fait, vous avez perdu. »

Je le regarde et je lui réponds « oui », mais il me reprend tout de suite : « Y a pas de oui, y’ a pas d’excuses. Sors ton téléphone, va sur le site de la Fédération et regarde ce qui est écrit. Est-ce que c’est marqué que l’arbitre a fait une connerie ? Est-ce que c’est marqué qu’il y avait du vent ? »

Écris que tu as pas eu de chance, non ? La seule information sur le site, c’est que ton équipe a perdu. Je pense qu’il n’a pas vraiment ajouté grand-chose et je ressens une profonde injustice. À ce moment-là, je me dis qu’il n’a rien compris, et tout ça.

Il s’énerve pour rien, mais en vrai, la leçon qu’il était en train de me donner, c’était une des plus importantes de ma vie. Dans la vie, y a deux types de personnes : celles qui se concentrent sur le résultat et celles qui se concentrent sur le ressenti, est-ce que c’est juste ou pas ? Est-ce qu’on a mérité ou pas ? Souvent, ça nous aide à nous sentir mieux à court terme.

Voilà, on a perdu un match, mais c’est la faute de l’arbitre. On a perdu le match, mais on a mieux joué, etc. On peut se réconforter autant qu’on veut, mais le vrai problème avec cette approche, c’est qu’on se ment à nous-mêmes. Il y aura toujours moyen d’excuser nos échecs, toujours moyen de justifier nos actions, même quand elles sont mauvaises et c’est ça le souci.

C’est une bien meilleure source de vérité que de juste regarder le résultat. Si tu as essayé de lancer ton business et que ça a foiré, c’est probablement parce que tu as fait des erreurs. Ça fait mal, mais ça permet d’apprendre. Cette petite douleur, elle fait mal, mais elle en vaut la peine. Réussir dans la vie, gagner plus d’argent, c’est comme grimper une montagne. Parfois, tu vas glisser, peut-être que la météo ne sera pas de ton côté, et au fond, c’est ça.

Les gens, la vie s’en fiche de la météo, si elle était plus dure pour toi, si tu as glissé ou si tu n’avais pas le bon équipement. Ce qui compte vraiment, c’est si oui ou non tu es arrivé au sommet de cette montagne. 

Leçon numéro 3 pour devenir riche

 Ce n’est pas le manque d’argent ou d’idées qui t’empêche de lancer un business, mais le manque de courage. Il n’y a presque aucune raison valable de ne pas commencer ton projet maintenant, donc dans 99,9 % des cas, attendre et remettre à plus tard, ça ne sert à rien.

baisser la probabilité que tu réussisses ou en tout cas retarder le moment où tu vas réussir, c’est un de mes plus grands regrets. Moi, j’avais envie de lancer un business depuis que j’avais genre 10 ans. Je me souviens, quand je rentrais des cours à pied, je pensais toujours à ça.

Je m’imaginais lancer une marque de voiture, c’était mon grand truc à l’époque et ça me faisait sourire. Je m’imaginais en train de faire le design, je préparais mes arguments marketing et tout. Plusieurs fois, pendant mon adolescence, j’avais cette idée en tête.

Ça me démangeait, j’avais envie de lancer des projets, j’avais des idées, mais je me disais que ce n’était pas le moment, que j’étais trop jeune, que j’avais d’autres choses à faire, que je n’avais pas d’argent, pas d’associé, etc.

Et en fait, aujourd’hui, en regardant en arrière, je réalise que c’est vraiment dommage de ne pas m’être lancé plus tôt. La plupart des gens pensent qu’ils n’ont pas assez d’argent pour démarrer un business. Je l’ai dit 40 000 fois sur cette chaîne : il y a plein de business que vous pouvez lancer avec quelques centaines d’euros.

D’euros et même 0 €, c’est sûr que ce n’est pas le business de vos rêves, mais commencer par une petite activité, comme une agence ou du freelance, ou même un petit site e-commerce, c’est toujours une bonne idée. Vous le faites pendant quelques mois, voire quelques années, vous prenez de l’expérience, et après, quand vous avez fait vos preuves, là vous pouvez vous lancer dans le gros business, et en plus, vous aurez économisé de l’argent.

vous aurez aussi plus de facilité à lever des fonds auprès des investisseurs, mais attendre, attendre, attendre le bon moment où vous aurez mis assez d’argent de côté, c’est juste de la procrastination, de la peur de l’échec. C’est la même chose pour avoir la bonne idée.

Je me souviens qu’à une époque, j’attendais de trouver l’idée qui me transformerait d’étudiant en milliardaire. Quand j’étais jeune, j’avais l’impression qu’il fallait soit inventer le nouveau Facebook, soit Je ne faisais rien, mais encore une fois, avoir l’idée de la prochaine entreprise qui va rapporter des milliards, c’est super difficile.

C’est bien plus efficace de commencer par lancer un business simple et classique, sans rien inventer, comme une agence, un bar, se lancer dans l’immobilier ou faire du consulting. Comme ça, on n’a pas besoin de trouver une idée géniale ou d’être sûr d’avoir le bon business dès le début. Une fois qu’on a de l’expérience, on pourra chercher des modèles de business plus ambitieux.

Il y a des gens qui pensent que ce n’est pas encore le bon moment parce qu’ils ne sont pas assez formés, mais on sait aujourd’hui que la meilleure façon d’apprendre, c’est de se renseigner et de regarder des vidéos sur le business même si on n’a pas de business.

Ça ne sert à rien si vous faites partie des centaines de milliers d’abonnés que j’adore qui regardent cette chaîne sans essayer de lancer un business en même temps, merci de suivre la chaîne, mais vous êtes en train de faire une énorme erreur. Avoir un projet le plus vite possible, c’est la meilleure chose que vous puissiez faire pour votre avenir. 

Leçon numéro 4 pour devenir riche

et ça m’embête un peu de l’admettre, mais mes profs à l’école et à l’université avaient raison : c’est super important d’être organisé pour réussir en classe. J’étais toujours un des pires élèves parce que je ne faisais jamais mes devoirs, ou alors je les notais mais je ne les relisais pas.

Ah, mais j’oubliais toujours de les faire, ou alors je notais, mais j’écrivais tellement mal que je ne pouvais même pas les relire, donc c’était inutile. J’avais la pire organisation de toute la classe ! Il m’arrivait même d’oublier des matchs de foot le week-end alors que j’adorais ça.

J’ai toujours détesté m’organiser parce que j’avais l’impression de m’enfermer dans un truc qui ne me plaisait pas. Je voulais être libre, pas avoir de contraintes, pas être forcé de faire un truc dans le futur que j’avais pas trop envie de faire, et du coup, ce dégoût pour l’organisation, avec les calendriers, les agendas, les to-do lists, ça m’a suivi pendant toute mon adolescence et même une partie de ma vie adulte.

C’est plusieurs mois après avoir lancé mon business que je me suis rendu compte que m’organiser, c’était peut-être pas si mal que ça. C’est là que ça a commencé, plusieurs années d’apprentissage. J’ai commencé par faire une simple to-do list.

Ensuite, j’ai commencé à planifier mes journées, puis les semaines, et aujourd’hui j’ai un système d’organisation super complexe qui me permet de gérer toutes mes priorités, tous mes projets avec différents collaborateurs, et un planning qui est en avance de plusieurs mois, voire même de plusieurs années. Chaque année, je m’organise de mieux en mieux, et ça, c’est lié à deux prises de conscience. La première, c’est que j’ai réalisé qu’on oublie souvent ce qu’on avait oublié.

C’est quand même assez évident ce que tu viens de dire, mais en fait, pas vraiment. Ce qui est vicieux avec les choses qu’on a oubliées, c’est que comme on les a oubliées, on ne se rend pas compte à quel point elles sont nombreuses.

Vous ne vous rendez pas compte à quel point, dans votre vie, il y a des réalisations super importantes, des idées incroyables que vous auriez pu mettre en place, des actions primordiales qui vous auraient permis d’atteindre vos objectifs, que vous avez simplement oubliées.

Chaque fois que vous oubliez ces trucs, y’ a personne qui vient vers vous en vous disant : « Eh Yumi, tu te souviens de cette info incroyable qui aurait pu te faire gagner deux fois plus d’argent que t’as oublié ? » Non, personne ne dit ça.

Donc, cette info de ouf, je l’avais à un moment, maintenant je ne m’en souviens plus et je ne m’en souviendrai plus jamais. Je ne suis même pas fâché d’avoir oublié, parce que j’ai oublié que j’avais oublié, et ça, je commence à le réaliser depuis que je prends des notes tous les jours.

Tous les jours, à la fin de la journée, je prends 15 minutes pour noter les trucs importants que j’ai réalisés pendant la semaine. Je planifie toutes les tâches que je dois faire. Après quelques semaines à faire ça, j’ai réalisé un truc de fou : en revenant sur mes notes, j’ai vu qu’il y avait une dizaine de choses super importantes que j’avais oubliées. Et en plus, je me suis rendu compte que j’écrivais trois ou quatre fois la même chose.

Dire « ah ouais, on peut faire une vidéo comme ça pour la chaîne YouTube, c’est une super idée, ça va me faire plein de vues ! » En fait, j’avais complètement oublié que j’avais déjà eu cette idée il y a 4 jours. Il faut vraiment se rendre compte que le cerveau, c’est une passoire.

Quand vous réalisez quelque chose d’important, faut impérativement l’écrire quelque part. Et le deuxième point important, c’est que si vous ne planifiez pas ce que vous allez faire, c’est trop facile de se mentir à soi-même, c’est un peu comme savoir qu’on devrait faire des appels de vente, qu’on devrait aller à la salle de sport, qu’on doit avoir cette discussion délicate.

Mais bon, comme c’est pas prévu, on se dit toujours qu’on le fera demain. On se dit que c’est pas si important et qu’il y a d’autres trucs à faire avant. On se dit aussi qu’aujourd’hui, c’est pas le bon jour et qu’on est trop crevé. Et finalement, on réalise même pas qu’on procrastine, parce qu’on avait des choses à faire.

On n’a pas prévu la chose tant qu’on a pas discuté de ce sujet délicat, et il ne faut surtout pas risquer de le repousser au lendemain, surtout qu’on ne l’avait même pas prévu pour aujourd’hui. C’est vraiment le piège le plus sournois des procrastinateurs, et on ne s’en rend même pas compte.

On planifie juste ce qu’on va faire demain ou la semaine prochaine, un peu comme les profs nous l’avaient appris à l’école. En faisant ça, ta procrastination sera réduite de moitié.

Vous allez enfin accomplir des choses importantes qui peuvent changer votre vie, donc ne faites pas la même erreur que moi et ne laissez pas l’école ou vos profs vous dégoûter. Ils nous forçaient à écrire nos devoirs dans notre agenda, c’était horrible à l’époque.

Ces devoirs étaient imposés par d’autres et on ne le faisait pas vraiment pour atteindre nos objectifs. Mais aujourd’hui, c’est différent. Tout ce qu’on décide de planifier, ce sont nos propres choix qui vont nous améliorer notre propre vie, le son brutal numéro 5 en business, faut savoir être un connard.

Franchement, on voit plein de vidéos sur YouTube en ce moment où tout le monde essaie de vous décrire le monde du business comme si tout le monde était sympa, avec des licornes et des bisous, et que c’est l’entrepreneur le plus gentil et le plus vertueux qui se fait le plus de fric.

 Mais ce n’est pas du tout la réalité. Moi, je suis vraiment convaincu, et je l’ai vu plein de fois : être mal intentionné en business, ça ne paye pas. Avoir un comportement qui n’est pas correct, ça ne mène à rien.

Pas éthique, c’est une grosse erreur, mais parfois, il faut être prêt à passer pour un connard aux yeux de certains pour réussir. Laisse-moi te raconter : au début de ma carrière, j’avais un pote qui bossait avec moi, mais la qualité de son travail commençait à baisser. Je me disais que si j’arrêtais de bosser avec lui, il allait dire que j’étais un connard, parce que c’était un pote et que c’était important pour lui. J’avais vraiment peur.

J’ai décidé d’arrêter de bosser avec lui pour ces raisons. J’ai procrastiné, procrastiné, procrastiné, et au fil du temps, il bossait de moins en moins bien. Un jour, je me suis dit « stop ». J’ai eu cette discussion difficile, j’ai pris le risque de mettre notre amitié en danger, et ça s’est beaucoup mieux passé que je ne le pensais. Derrière, j’ai pu recruter quelqu’un qui était beaucoup plus motivé, et cette personne a fini par trouver un autre taf.

Gagner encore plus de fric avec une autre opportunité, ça a bien fonctionné dans ce cas-là, mais c’est pas toujours le cas. Il y a des gens qui peuvent devenir fous quand tu arrêtes de bosser avec eux. Faut bien piger que les personnes avec qui tu travailles, ce n’est pas ta famille, c’est ton équipe de sport.

Tu dois être proche et créer des liens super forts avec eux, mais s’ ils ne sont plus performants, plus leur place sur le terrain, c’est comme un match de foot : ça peut être ton pote depuis des années, mais si c’est plus le meilleur joueur à son poste, il faut le remplacer.

Ça ne change rien à l’affection que tu as pour lui, mais c’est ce que tu dois faire pour le bien de ton business. Parfois, c’est ça le business : mettre ses sentiments de côté pour le bien de l’entreprise dans son ensemble. Deuxième cas où il faut parfois oser passer pour un connard, c’est quand il faut avoir le courage de dire non.

Vous allez réussir dans le business, et plus vous aurez de propositions. On va vous proposer des partenariats, on va vous proposer d’investir, de vous associer, même d’aller prendre un café pour réseauter.

Encore une fois, si vous dites non, certaines personnes vont penser que vous êtes un connard, que vous faites le mec occupé, que vous avez pris la grosse tête ou que vous êtes égoïste. Mais ce que je trouve hilarant dans ces cas-là, c’est si vous n’avez pas envie de dire oui, c’est souvent parce que l’échange de valeur est déséquilibré. 

Quand vous investissez dans un projet auquel vous ne croyez pas, vous donnez de l’argent, donc de la valeur, et en retour, vous recevez quelque chose de moins important. Quand vous refusez une opportunité de networking, c’est souvent parce que ce que la personne peut vous offrir est bien moins intéressant que ce que vous pouvez lui apporter.

Non à un partenariat, c’est sûrement parce que vous allez apporter plus de visibilité à l’autre personne qu’elle ne vous en donnera en retour. Donc, dans ce cas, c’est pas vous qui êtes égoïste, c’est l’autre. Elle pense d’abord à elle, elle se dit : « Moi, j’ai besoin qu’on investisse dans mon business, j’ai besoin de conseils, j’ai envie de réseauter avec cette personne, j’ai envie d’un partenariat. »

Et quand l’autre personne dit non, elle se vexe, mais c’est parce que c’est elle qui est vraiment égoïste et elle n’a jamais pris le temps de se dire : « peut-être qu’il m’a dit non parce que ça ne l’intéresse pas trop ». 

Donc, n’hésitez pas à dire non si l’échange n’est pas équilibré ou si vous n’avez pas envie de faire quelque chose. C’est votre droit, et ce sont les gens qui ne comprennent pas ça qui sont égoïstes, pas vous.

 Leçon numéro 6 pour devenir riche

 ça me titille un peu de l’avouer, mais ma mère avait raison : pour réussir, il faut savoir écouter ses émotions. J’ai toujours été quelqu’un de super stoïque. Je me suis toujours dit que c’était rationnel : les émotions, ça fausse ton jugement. Écoute pas ça, prends des décisions logiques, et c’est comme ça que tu vas réussir.

Mais le problème, c’est que c’est impossible. Heureusement ou malheureusement pour moi, je ne suis pas un robot, non, j’ai aussi un petit cœur. J’ai aussi des émotions. En fait, le truc avec les émotions, c’est que tu ne peux pas les ignorer. Comme le dit Carl Jung dans une de mes citations préférées, tant que tu ne rends pas l’inconscient conscient, il dirigera ta vie.

La vie, tu l’appelles destin tant que tu ne l’identifies pas. Si tu ne fais pas remonter tes émotions à la surface, elles vont dicter ton destin sans que tu t’en rendes compte. C’est impossible d’être complètement stoïque et de ne pas avoir d’émotions, on en a tous. Ignorer ses émotions, c’est pas une option.

La meilleure façon de ne pas se laisser trop influencer, c’est de les repérer et de les analyser attentivement. Prends une loupe et avec curiosité, essaie de comprendre quelles émotions sont en train d’influencer ta vie.

Comportement et j’ai pris une grosse claque quand j’ai réalisé que la plupart de mes erreurs étaient liées à des émotions que je n’avais pas remarquées. Et ce n’est pas juste moi, c’est pareil pour tous les entrepreneurs. La plupart des problèmes dont on a parlé aujourd’hui sont liés à des émotions.

Si vous procrastinez sur le lancement de votre business, ce n’est pas parce que vous avez besoin de la bonne info ou de la bonne idée, c’est parce qu’au fond vous avez peur, peur de l’échec. 

Peut-être que vous manquez de confiance en vous, et ça vous fait penser que ça ne va pas marcher. Ou alors, vous êtes perfectionniste et vous stressez à l’idée de produire quelque chose qui ne soit pas parfait.

En gros, votre procrastination est liée à une émotion, et si vous ne parvenez pas à identifier cette émotion, ce sera impossible de vaincre cette procrastination. Vous pouvez regarder autant de vidéos que vous voulez, il y aura toujours cette petite voix dans votre tête qui fait en sorte que vous n’allez pas passer à l’action. 

Un autre souci que rencontrent beaucoup d’entrepreneurs, c’est qu’ils se lancent, mais après quelques semaines, ils arrêtent et passent à un autre projet. Encore une fois, c’est une question d’émotion : vous êtes guidé par l’envie de nouveauté, toujours envie de commencer quelque chose de nouveau.

Et quand vous avez bossé quelques semaines sur un projet, il perd un peu de son attrait initial, du coup, vous vous en lassez. D’autres personnes, par contre, vont prendre des risques inconsidérés, ils vont dépenser toutes leurs économies pour lancer une entreprise. Ils vont foutre trop d’argent dans la pub ou investir leur fric de manière irresponsable.

 Encore une fois, c’est une émotion qui guide leurs décisions : y’a de l’avarice, de l’impatience, et c’est ça qui les fait échouer. Donc, perso, depuis quelques semaines, j’essaie de me demander sans arrêt quelle émotion dicte mes choix, plusieurs fois par jour.

J’essaie de comprendre ce que je ressens, pourquoi je le ressens, et de prendre ça en compte pour éviter de faire des erreurs.

Leçon numéro 7 pour devenir riche

Si tu oses vendre, t’as dix fois plus de chances de réussir. La meilleure façon d’expliquer ça, c’est de te faire un dessin : imagine une course, ok ? Il y a plein de gens qui commencent la course, et le but, c’est de gagner de l’argent à la fin. Ceux qui arrivent les premiers, ils gagnent de l’argent.

Donc, à droite, tu as une route super défoncée comme ça, et de l’autre côté, t’as un boulevard. Évidemment, la plupart des gens, qu’est-ce qu’ils font ? Ils se disent : « Je vais prendre par là, la route qui est bien dégagée. » Mais ce qu’ils ne prennent pas en compte, c’est que tout le monde va faire ça.

Tout le monde va se dire qu’il prend la route la plus facile, la plus évidente, avec le moins de galères. Le souci, c’est qu’à l’arrivée, y’a autant de monde des deux côtés. Du coup, si tu passes par la route de gauche, ça va.

Il faut vraiment être super rapide, il faut faire partie des gens qui courent le plus vite et qui arrivent les premiers. Une autre stratégie pour gagner plus d’argent, ou en tout cas avoir plus de chances de gagner, c’est de se taper la route accidentée. Comme ça, vous serez presque tout seul, donc vous pouvez prendre votre temps. Du coup, vous n’avez pas besoin d’être parfait, pas besoin d’être exceptionnel, il suffit juste de faire des efforts et après, ça ira.

Il y aura beaucoup moins de concurrence et donc plus d’argent pour vous, et dans le business, c’est exactement pareil, surtout quand on parle de la compétence de la vente. 90 % des entrepreneurs et des gens n’aiment pas vendre, il y a un vrai malaise social.

On doit aller parler à des inconnus, essayer de leur vendre quelque chose, les convaincre d’acheter un truc qu’ils n’ont pas forcément envie d’avoir au départ. Ce malaise décourage énormément de personnes.

Avoir plein de modèles économiques super intéressants qui ne sont pas retenus. Du coup, il y a plein de gens qui n’osent pas lancer leur agence parce que, ben voilà, il faut vendre des services. Il y a aussi plein de gens qui ne vont pas devenir freelances parce qu’encore une fois, on doit faire face aux clients.

Même dans des modèles économiques où on peut travailler sans avoir à parler, beaucoup de gens laissent de l’argent sur la table à cause de ça. Je pense par exemple au e-commerce, vous pouvez simplement appeler toutes les personnes qui ajoutent des produits dans leur panier mais n’achètent pas, et vous pouvez récupérer plein de ventes et d’infos sur vos clients pour améliorer votre site. Mais ça, personne ne le fait, encore une fois parce que les gens ont peur de vendre au téléphone. 

Ça permet aussi de comprendre la psychologie des consommateurs, et c’est un atout incroyable pour réussir dans le business. La plupart des milliardaires ont commencé dans la vente, que ce soit du porte-à-porte ou autre par téléphone, et c’est pendant ces années-là qu’ils ont vraiment compris le marché.

 Donc, si tu es entrepreneur, je te conseille de te lancer dans la vente. Ça va t’aider à acquérir une compétence de dingue et à augmenter tes chances de réussir dans les affaires. Ça peut même te permettre d’augmenter tes revenus dès le mois prochain. Par exemple, tu peux devenir commercial, closer des ventes et toucher des commissions de plusieurs centaines d’euros pour vendre des produits. Si ça t’intéresse, n’hésite pas !

Pas moyen de taper ça sur Youtube, le son brutal numéro 8. Y a que 5 % des employés qui font vraiment leur taf, mais ceux qui le font bien vont révolutionner ton business. Imagine, t’es dans une équipe de foot régionale, ok, et tu perds tous les matchs.

Du coup, le coach se dit qu’il va peut-être falloir changer un peu l’équipe, recruter un nouveau joueur. Il fait venir un mec du village d’à côté, mais il est nul, il perd tous ses ballons et finit sur le banc.

Pendant les prochaines années, ce coach-là va se concentrer sur le choix de la bonne marque de gourde et sur le fait de jouer sur le bon terrain. Il va essayer de choisir les bons mots à la mi-temps pour remotiver l’équipe, changer un peu son programme d’entraînement, mais finalement, l’équipe continue à perdre. Puis un jour, Mourinho arrive, il parle au coach du village et lui dit : Attends, le problème, c’est ton équipe.

Je pense pas qu’en recrutant d’autres joueurs, tu pourrais améliorer les résultats, et là le coach il dit : « Non, moi j’ai déjà essayé de recruter un autre joueur mais il était encore plus nul, donc je sais que c’est pas ça. » D’ailleurs, moi, je fais pas confiance aux gens qui sont en dehors de l’équipe, il n’y a que moi qui ai vraiment envie que cette équipe gagne.

Avec ces petites histoires, je viens de résumer ce que font tous les entrepreneurs débutants : soit ils délèguent pas du tout parce qu’ils n’ont pas confiance, soit ils essaient de déléguer et font venir quelqu’un, mais cette personne, elle fait pas le job.

Du super boulot, et puis ils disent que du coup tous les employés ne foutent rien et qu’ils ne servent à rien. La réalité est différente : il y a très peu d’employés qui font vraiment bien leur taf, mais ceux-là, ils te changent la vie.

Il n’y a rien de plus puissant pour améliorer ton business que de recruter ce qu’on appelle un « A player », donc un employé vraiment exceptionnel. Mais ces perles rares, elles sont difficiles à trouver parce qu’elles bossent déjà ailleurs, elles ne se font jamais virer et elles sont bien payées.

Et tout le monde a envie de bosser avec eux. À l’inverse, les employés de mauvaise qualité, eux, passent leur temps à chercher un job parce qu’ils n’arrivent pas à rester longtemps nulle part. Quand tu fais tes premiers recrutements, il y a de fortes chances que tu tombes sur l’un d’eux, parce que tu ne sais pas où dénicher les meilleures personnes.

Tu ne sais pas faire la différence entre les bonnes et les moins bonnes, et tu ne sais même pas comment mettre une bonne personne dans un bon environnement de travail.

Faites vite le tour de toutes ces erreurs, je vous en parle parce que je les ai toutes faites pendant longtemps dans mes affaires. Je ne faisais confiance à personne, je ne déléguais presque rien du tout, et ça m’a vraiment bloqué.

C’est à partir du moment où j’ai recruté mon premier vrai « A player », la première personne vraiment impliquée et super compétente dans son boulot, que j’ai compris la force de créer une équipe. Depuis, un de mes principaux objectifs, c’est le recrutement.

Travailler avec toujours plus de gens, c’est comme ça que j’ai réussi à faire grandir mes affaires. Pour améliorer une équipe de foot et avoir de meilleurs entraînements, c’est super important. Faire un bon discours de motivation, c’est bien, mais l’un des trucs les plus importants, c’est d’avoir les meilleurs joueurs dans l’équipe.

Leçon numéro 9 pour devenir riche

 et ça, c’est un enseignement de ma grand-mère : la flemme, c’est pas un bon conseiller. Alors, je sais qu’il y a plein d’entre vous qui regardez ma chaîne. »

L’objectif de devenir riche rapidement et facilement sans effort, juste parce que vous êtes paresseux et impatient, c’est une illusion. Désolé de vous le dire, mais ça ne marchera pas, ou alors ça ne durera pas longtemps. C’est un peu comme vouloir devenir musclé sans fournir d’efforts, rapidement et facilement.

Au final, il y a deux options : soit vous abandonnez, soit vous vous découragez, et aucune des deux n’est bonne pour vous sur le long terme dans le business, c’est exactement la même chose. C’est n’importe quoi de vouloir devenir riche sans rien faire.

C’est débile de vouloir devenir riche facilement. Ce qu’il faut, c’est vouloir devenir riche de manière efficace. Imaginez-vous encore une fois : il faut la bonne routine, la bonne nutrition, et éviter les erreurs de débutant. Ça, c’est super important.

C’est pour ça que, voilà, il faut se renseigner, prendre des conseils, et éviter de foncer tête baissée. C’est une bonne chose, mais pour réussir, il faut vraiment fournir des efforts, et dans le business, c’est pareil. Il ne faut pas se laisser influencer par la flemme, c’est l’une des pires choses que vous puissiez faire.

Leçon numéro 10 pour devenir riche

, c’est de réaliser que je ne savais pas autant de choses que je pensais savoir sur le business, et ce manque de connaissances m’a fait perdre des millions. C’est pour ça que récemment, j’ai fait une vidéo où je repensais à tout ce que j’avais appris pendant mes 10 ans d’expérience.

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